La Forme du mouvement
Angélique Buisson
Entre les mois d’avril et de juin 2017, Angélique Buisson a travaillé auprès des classes de CE1 et CP/CM1 de l’école Lamartine à Saint-Michel-sur-Orge.
En utilisant différents moyens graphiques et plastiques (dessin, écriture, découpage…), les enfants ont inventé des signes pour créer un alphabet de gestes et de mouvements. À partir de ce langage, ils ont écrit les partitions d’une succession de mouvements, transcrivant ainsi une chorégraphie pouvant être interprétée.
Mettant en scène le fruit des recherches, expérimentations et créations qui a émergé de ces ateliers, les enfants interprètent eux-mêmes la partition qui en a résulté. Enfin, poursuivant le travail mené par les enfants, la danseuse Lina Schlageter interprète ces partitions lors d’un après-midi de performances au CAC Brétigny.
Le projet La forme du mouvement a été mis en œuvre dans le cadre d’un Projet d’éducation artistique et culturelle (PEAC) soutenu par la Direction des Services Départementaux de l'Éducation Nationale de l’Essonne.
En réanimant des scénarios inachevés ou des événements aux traces troubles, Angélique Buisson compose des conférences performances, des films, des textes ou des installations comme des montages narratifs. L’archive et le document sont au cœur de ses interrogations, en particulier en ce qui concerne la traduction de l’histoire et ses mémoires fantômes et la relation entre image et événement. Elle est titulaire d’un DNSEP de l’Ecole nationale supérieure de Limoges, d’un Master 2 Edition-Livre d’artiste de l’Université de Saint-Etienne, et du post-diplôme art contemporain et document à l’ÉESI- École européenne supérieure de l’image d’Angoulême.
Agenda
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Mardi 6 juin 2017, 18h30
La forme du mouvement, Angélique Buisson
Restitution
Entre les mois d’avril et de juin 2017, Angélique Buisson a travaillé auprès des classes de CE1 et CP/CM1 de l’école Lamartine à Saint-Michel-sur-Orge (91). En utilisant différents moyens graphiques et plastiques (dessin, écriture, découpage…), les enfants ont inventé des signes pour créer un alphabet de gestes et de mouvements. À partir de ce langage, ils ont écrit les partitions d’une succession de mouvements, transcrivant ainsi une chorégraphie pouvant être interprétée. Le mardi 6 juin, à l'occasion d'un spectacle à l'école, les enfants mettent en scène le fruit des recherches, expérimentations et créations qui a émergé de ces ateliers.