Bascules

Saison hors les murs
2024—2025

  • U+1F477-003

    Personnel du bâtiment

  • 🪨👷

    Logotype

  • s.n.

    Impression couleur, 2 × 2 cm

  • Annuaire de l’Essonne, p.437

    2010

Hugo Béhérégaray
Louis Chaumier
Elise Courcol-Rozès
Juliette George
Fabienne Guilbert Burgoa
Ariadna Guiteras
Jacent (Jade Fourès-Varnier & Vincent de Hoÿm)
Camille Juthier
Bridget Low
Louise Perrussel
Chloé Serre
Marine Zonca

Saison hors les murs 2024—2025
Commissariat: Équipe du CAC Brétigny (Zélia Bajaj, Milène Denécheau, Léana Doualot, Elisa Klein, Danaé Leroy, Coraline Perrin, Marie Plagnol, Ekaterina Tsyrlina)

«Ici, on touche avec les yeux»: cette règle, souvent énoncée par les médiateur·rices à l’entrée des expositions, suscite bien des frustrations. Avec elle, tout un ensemble d’habitudes et de conventions régissent les manières de faire exposition: de la produire, de l’habiter, de la partager. On pourrait même parler d’habitus, pour reprendre les mots du sociologue Pierre Bourdieu. Cette notion désigne toutes les dispositions intégrées de façon plus ou moins consciente par les individus au contact de leur environnement social. Pour la saison 2024—2025, le CAC Brétigny met les usages de l’exposition en bascule: ensemble, nous tentons de nous affranchir des règles appliquées machinalement dans les lieux d’art contemporain.

Les résidences, expositions et évènements hors les murs sont habités par des expérimentations artistiques, pédagogiques et collectives. Cette programmation itinérante, propice à l’impermanence, s’inscrit dans la continuité de l’Ǝcole, qui rassemble depuis 2020 des participant·es d’horizons variés pour explorer des modes de transmission horizontaux des pratiques et savoirs en arts visuels. Intitulée «Bascules», cette saison pense d’autres manières d’apprendre et propose divers modes de relations aux œuvres. Une attention toute particulière est prêtée aux rapports de pouvoir qui ont cours au sein des expositions.

Dessinée collectivement par l’équipe du CAC Brétigny, «Bascules» met d’abord en mouvement les hiérarchies internes. Salariées occupant différents postes comme personnes en stage et en service civique ont choisi de signer ensemble le commissariat des expositions et résidences de cette saison. Cette décision découle de l’expérience partagée du travail dans un centre d’art en l’absence de direction. Depuis mars 2023, le CAC Brétigny est piloté dans une volonté d’horizontalité impliquant une collaboration accrue, qui tend au décloisonnement de nos métiers (communication, médiation, production ou encore régie). C’est depuis les pratiques quotidiennes de chacun·e et en faisant l’expérience du travail qu’implique le collectif que nous avons imaginé avec les artistes une programmation plurielle.

Un cycle d'expositions et d'installations se déploie sur le territoire dans des lieux non dédiés à l'art contemporain et lors d'évènements locaux de septembre 2024 à juillet 2025. Autant de propositions pensées pour leur contexte d’apparition et qui essaient de se détacher de la codification des mouvements, sons et gestes dans une exposition. «Bascules» entend favoriser la participation et l'inclusion des visiteur·euses. Il s’agit de penser la place des corps dans les lieux d'exposition, en questionnant les effets produits par les contraintes et normes instituées dans ces espaces. Avec les publics, nous continuons de transformer l’exposition pour l’adapter tout au long de sa durée d’usage, en songeant notamment au confort de visite. L’exposition s'augmente ou s’amenuise selon les désirs des visiteur·euses, invité·es à se saisir d'œuvres manipulables, à agir sur des installations modulables, à investir des espaces de pratique libre.

Les artistes invité·es s’approprient joyeusement des concepts tirés du design et de son histoire. Elles et ils se penchent sur la manière dont les objets, les espaces ou encore les supports imprimés sont souvent conçus pour rationaliser nos comportements, en orientant l’organisation de l’apprentissage et du jeu, du travail et du loisir, de l’activité solitaire et des lieux communs.

Certaines s’emparent de principes liés à l’affordance, terme désignant la capacité d’un objet ou d’un outil à induire par sa forme un geste intuitif. Dans le champ du design, l’affordance qualifie par extension la capacité d’un objet à prévoir et même à imposer son mode d’utilisation aux usager·ères. Au contraire, les artistes essaient d’inventer des relations non-autoritaires aux œuvres-objets qu’elles mettent à disposition des visiteur·euses. Avec Fabienne Guilbert Burgoa, il s’agit de se les approprier par des gestes libres, en vue de dériver des fonctions usuelles et d’imaginer de multiples usages ludiques et joyeux. Elise Courcol-Rozès conçoit quant à elle des formes qui induisent de potentielles actions, des modes d’échanges ou de sociabilité, et laisse la part belle à l’expérimentation partagée.

D’autres cherchent à se détacher des injonctions contemporaines à la productivité. Elles et ils se penchent sur la manière dont les objets, espaces et supports affectent nos comportements. Il ne s’agit pas de chercher, comme des ergonomes le feraient, à améliorer la performance des travailleur·euses par l’étude de leur environnement et de leurs outils. Au contraire, considérer l’ergonomie des expositions et de ce qu’on y installe est un point de départ pour formuler des invitations ouvertes. Louis Chaumier prête attention à la façon dont sont produits les espaces quotidiens et le savoir qui les entoure. Il transforme des environnements standardisés en y réintroduisant de la tendresse. Juliette George expérimente des moyens concrets de donner envie aux visiteur·euses de passer du temps dans les espaces d’exposition, récoltant notamment leurs impressions sur le confort de visite. Les œuvres d’Hugo Béhérégaray portent quant à elles la trace de leurs usages, l’artiste acceptant que l’exposition se modifie à mesure qu’elle est investie. Bridget Low et le duo Jacent invitent les publics dans des espaces de pratique libre. Les installations qu’elles et il conçoivent proposent à chacun·e de prendre le temps de créer en autonomie, d’apprendre de nouvelles techniques, ou d’adapter le mobilier et les outils mis à disposition pour en faire tout autre chose.

Enfin, le design pédagogique et la notion de mobilier ludique ouvrent une brèche dans laquelle s’engouffrent des pratiques artistiques guidées par le désir de recréer un espace d’invention. Dire qu’une chose est faite pour les enfants ou pour jouer suffit bien souvent à échapper aux assignations à l’utilité. Louise Perrussel explore le retour aux intuitions jubilatoires des enfants, en autorisant tout le monde à manipuler ce qui nous procure l’envie de toucher. Camille Juthier crée des espaces à habiter, dont les matières participent de la relation sensorielle entre les publics et les œuvres. Ariadna Guiteras renverse le rapport d’autorité exercé par les adultes sur les enfants, en demandant aux grand·es de s’adapter à l’échelle des petit·es. Chloé Serre envisage le jeu comme une manière d’apprendre collectivement, en s’appropriant certains codes de communication. Marine Zonca invente d’autres façons d’apprendre, par l’appropriation des savoirs au travers de la mnémotechnique. Ces cinq artistes mettent à disposition de tou·tes des œuvres inspirées d’objets d’apprentissage, avec lesquelles le savoir peut se modeler selon les envies et besoins.

Le titre de la saison évoque des objets aux multiples fonctions: la balançoire à bascule (plus connue sous le nom de tape-cul), le cheval à bascule ou encore la chaise à bascule. Nombre de designeur·euses ont conçu de tels objets: on pense notamment au siège biface Schaukelwagen (vers 1950) d’Hans Brockhage, qui se transforme d’une voiture à roulettes en une chaise sur laquelle se balancer d’avant en arrière. Autant de formes jouant sur l’équilibre, dans la relation d’un corps à un objet ou de plusieurs corps entre eux. Sur un tape-cul, on peut ainsi monter chacun·e son tour dans les airs, faire sauter l’autre plus ou moins violemment, ou chercher ensemble le point d’équilibre. «Bascules» joue à son tour avec les rapports d’équilibre en tentant de créer des relations plurielles aux objets, supports ou encore installations que l’on trouve dans les expositions.

 

Hugo Béhérégaray (né en 1995) vit et travaille entre la France et les Pays-Bas. Il est diplômé de l’École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy et du Sandberg Instituut d’Amsterdam. Il réalise des sculptures portatives, participatives, altérables, en ayant pour point de départ la volonté de créer une rencontre. Il se sert de matériaux accessibles comme le carton afin de donner vie et volume à des dessins qui viennent animer l’espace commun. Son travail a notamment été présenté à la Galerie Dohyang Lee à Paris en 2021, à la Vienna Design Week en 2023 et avec le Frac Île-de-France au Musée de l’Histoire Vivante de Montreuil en 2024.

Louis Chaumier (né en 1995) vit et travaille entre Paris et Genillé (Indre-et-Loire). Diplômé en 2021 de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, il développe un travail qui tend à perturber les usages des objets et espaces qui nous entourent, en particulier de ceux qui témoignent d’une certaine histoire du progrès, de la croissance et de ses échecs. Il a notamment exposé à Mains d’Œuvres à Saint-Ouen en 2021, Bétonsalon—Centre d'art et de recherche à Paris en 2021 et à L'Onde Théâtre Centre d'art à Vélizy-Villacoublay en 2023.

Elise Courcol-Rozès (née en 1992) vit et travaille à Marseille. Elle est diplômée de l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, ainsi que de l'École des hautes études en sciences sociales. Sa pratique de l’installation, de la performance et de l’édition est nourrie de l’observation de certains enjeux socio-politiques et de méthodes de recherche en sciences humaines. Son travail s’ancre régulièrement dans des structures sociales (centre pénitentiaire, hôpital psychiatrique, écoles et collèges) dans une démarche de co-création. Elle participe à des programmes d'accompagnement ou de résidence tels que Création en Cours en 2017, la Villa Belleville en 2019, Artagon Marseille en 2022 et elle est lauréate de la bourse Mécènes du Sud en 2022.

Après des études littéraires à Paris, Juliette George (née en 1992) intègre l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles dont elle sort diplômée en 2021. Son travail repose principalement sur le texte, adoptant une esthétique bureaucratique et s’appuyant sur un héritage conceptuel. Depuis quelque temps, elle prête attention aux enjeux matériels des visites et à ceux de la médiation du point de vue des visiteur·euses. Elle a exposé son travail dans des lieux tels que le Palais Orbeliani à Tbilisi en 2021, Mécènes du Sud à Montpellier en 2022 et le Château de Servières à Marseille en 2023. En 2024, elle présente sa première exposition personnelle, Sympathies n°1, au 3 bis f à Aix-en-Provence, et son travail en collaboration avec Rodrigue de Ferluc est exposé au pavillon géorgien de la Biennale de Venise.

Fabienne Guilbert Burgoa (née en 1992), vit et travaille à Marseille. En 2017, elle est diplômée de l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy. Interrogée par la muséification qui rigidifie les cultures orales dans les latitudes Sud, elle entame des recherches anthropologiques collaboratives afin de créer des nouvelles propositions de récits et d’espaces communs, accueillants et vivants. Elle travaille sur l’accessibilité de la culture et s’attache à créer des ponts entre art contemporain et design à travers des principes d’activation ludique et d’affordances intuitives, à l’image de sa première collection de mobilier sculptural MIMO. Elle a notamment bénéficié du soutien de la Fondation Alfredo Harp Helú en 2016, du Museo Textil de Oaxaca en 2017, de La Collection Lambert depuis 2022 et du Frac Sud en 2023.

Ariadna Guiteras (née en 1986) s'intéresse aux corps et aux relations qui les façonnent. Après avoir développé une pratique de la performance, elle expérimente aujourd’hui d’autres médiums comme la céramique et le textile. Son travail récent approfondit, par le biais des temporalités lentes et des processus collaboratifs, des concepts comme la dissolution de la distinction binaire enfant-adulte et la théorie médiévale du «corps poreux». Elle a été artiste en résidence au Hangar à Barcelone en 2015 et à Gasworks à Londres en 2019, et son travail a été exposé dans des lieux tels que CentroCentro à Madrid en 2018, la Fundació Miró à Barcelone en 2019 et The Bower à Londres en 2019.

Jacent, duo formé par Jade Fourès-Varnier et Vincent de Hoÿm (né·es en 1984), crée des installations à grande échelle inspirées de leur vie intime et domestique, où le public est reçu comme un invité. Selon le contexte, le duo adapte ses propositions multidisciplinaires qui questionnent l’expérience vécue au sein d’une exposition. Elle et il ont fondé Tonus, un artist-run space parisien qui perpétue cet état d’esprit. Leur travail a fait l'objet d’expositions personnelles et collectives à Le SHED, Centre d’art contemporain de Normandie en 2022, à la Fondation Boghossian —Villa Empain à Bruxelles en 2023, à One gee in fog à Genève en 2023 et à la galerie Crèvecœur à Paris en 2024.

Camille Juthier (née en 1990) vit et travaille entre Aubervilliers et Clermont-Ferrand, où elle enseigne à l’École supérieure d’art de Clermont Métropole. Diplômée de l’École des beaux-arts de Nantes Saint-Nazaire, elle pratique la sculpture, l’installation sensorielle, la vidéo, le texte et la performance. Sa pratique traverse les champs de l’artisanat et du design, afin de produire des formes supports d’histoires alternatives. En 2023, elle est lauréate du programme FoRTE avec Glassbox Paris, où elle bénéficie d’une résidence et d’une exposition personnelle. En 2024, elle remporte le prix Art ensemble de la fondation Gulbenkian et du CENTQUATRE-PARIS, et bénéficie du soutien de Mécènes du Sud. Elle a exposé entre autres au 64e Salon de Montrouge en 2019, au Centre Pompidou à Paris en 2023 et au Frac Île-de-France en 2024.

Bridget Low (née en 1995) vit et travaille à Marseille où elle co-gère l’atelier Vé. Elle est diplômée de la Virginia Commonwealth University School of the Arts à Richmond en 2017. Elle travaille principalement le tissage de tapisseries dans un univers vif et coloré. Elle s’inspire de la télé-réalité, des films et de la musique issus de la culture populaire américaine, dont elle tire ses personnages. Elle a participé à la création du collectif Monstera en 2021 aux côtés des artistes Delphine Dénéréaz, Léna Gayaud et Opale Mirman. Elle a exposé notamment à la Friche la Belle de Mai à Marseille en 2022 et au Carré d’Art—Musée d’art contemporain à Nîmes en 2024.

Louise Perrussel (née en 1998) vit et travaille à Nantes. Elle est diplômée de l'École européenne supérieure d'art de Bretagne en 2021 et de l’École supérieure des beaux-arts de Nantes Saint-Nazaire en 2023. Elle explore les porosités entre l’inerte et le vivant, entre les objets, les choses et la sculpture. Sa pratique tend à réévaluer les liens entre nos corps et les objets communs et discrets du quotidien. En 2023, son travail a fait l’objet d’une acquisition par l'artothèque de Nantes Art Delivery. En 2024, elle a notamment exposé au parc de la Gaudinière à Nantes et participé à la 6e édition de 100% L’EXPO à La Villette à Paris.

Chloé Serre (née en 1986) vit et travaille à Saint-Etienne. Diplômée de l’École supérieure d’art et design de Saint-Etienne, elle enrichit sa pratique de collaborations régulières avec des artistes issu·es du spectacle vivant, mais aussi de ses nombreuses rencontres et co-création avec divers publics. Au travers de sculptures activées lors de performances, elle s’intéresse aux règles qui sous-tendent les interactions humaines. Elle a participé à la 64e édition du Salon de Montrouge en 2019, à la 19e édition du festival Hors Pistes au Centre Pompidou et à plusieurs expositions personnelles et collectives, notamment au macLYON en 2021 et au Creux de L'Enfer à Thiers en 2022.

Marine Zonca (née en 1993) vit et travaille à Paris. Elle est diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon. Sa pratique réunit la sculpture, le dessin et le dessin animé, ainsi que des techniques historiquement situées comme la fresco pour produire des anachronismes. Elle mène des recherches à l’École des hautes études en sciences sociales autour de pratiques mnémotechniques au XIXème siècle. Son travail a fait l’objet de plusieurs expositions, notamment à KOMMET à Lyon en 2020, à DOC! à Paris en 2020, à La Serre à Saint-Etienne en 2022 et à La Tôlerie à Clermont-Ferrand en 2023.

Documents

Agenda

  • Du samedi 12 octobre au dimanche 20 octobre 2024

    Note à nous-mêmes

    Exposition

    Pour le Salon d’art 2024, le CAC Brétigny présente une installation immersive et interactive de Fabienne Guilbert Burgoa. L'artiste nous invite à passer du temps au sein d’un espace intime évoquant un salon, dans lequel les fragments d’une histoire ont été dissimulés. Pour les découvrir, nos sens sont mis en éveil (et parfois déroutés) par les multiples textures qui composent l’installation.

    Entrée libre, aux horaires d'ouverture du Salon d'art, à la salle des fêtes François des Garets.

  • Du mardi 5 novembre au samedi 7 décembre 2024

    Witches confused by their own magic

    Exposition

    Pour son exposition personnelle, l’artiste Bridget Low présente des tapisseries peuplées de personnages issus d’un imaginaire cartoonesque: sorcières et animaux sont suspendus aux mezzanines de la médiathèque Olivier Léonhardt. Les visiteur·euses sont libres d’inventer les histoires qui lient ces scènes entre elles ou de s’essayer à leur tour au tissage dans un espace conçu par l’artiste!

    Entrée libre, aux horaires d'ouverture de la médiathèque Olivier Léonhardt de Sainte-Geneviève-des-Bois.

  • Dimanche 12 janvier 2025, 15h-18h

    Exposition d'Elise Courcol-Rozès et Fabienne Guilbert Burgoa

    Vernissage

    Vernissage de la première exposition collective de la saison «Bascules». 

    Navette gratuite Paris/Arpajon: départ à 14h15 du 104 avenue de France, 75013 Paris (métro Bibliothèque François Mitterrand). Réservation indispensable: reservation@cacbretigny.com.

    Entrée libre. Galerie Francval d'Arpajon.

  • Du dimanche 12 janvier au dimanche 23 février 2025

    Exposition d'Elise Courcol-Rozès et Fabienne Guilbert Burgoa

    Exposition

    Cette première exposition collective de la saison «Bascules» réunit les artistes Elise Courcol-Rozès et Fabienne Guilbert Burgoa.

    Entrée libre. Du mercredi au vendredi de 14h à 18h et les samedis et dimanches de 10h à 13h et de 14h à 18h. Galerie Francval d'Arpajon.

  • Du lundi 3 mars au dimanche 9 mars 2025

    Jacent au Salon du livre de jeunesse

    Exposition

    Les visiteur·euses du salon du livre jeunesse sont invité·es à découvrir une installation de Jacent (Jade Fourès-Varnier & Vincent de Hoÿm).

    Entrée libre, aux horaires d'ouverture du salon.
    Salon du livre jeunesse, Espace Olympe-de-Gouges à Saint-Germain-lès-Arpajon.

  • Du mercredi 12 mars au samedi 5 avril 2025

    Witches displeased by their own perfume

    Exposition

    Deuxième volet de l'exposition personnelle de Bridget Low, dans le cadre de la saison «Bascules». 

    Entrée libre, aux horaires d'ouverture de la médiathèque Simone Veil d'Ollainville.

  • Samedi 5 avril 2025, 15h-18h

    Exposition d'Hugo Béhérégaray, Louis Chaumier et Juliette Georges

    Vernissage

    Vernissage de la deuxième exposition collective de la saison «Bascules». 

    Navette gratuite Paris/Morsang-sur-Orge: départ à 14h15 du 104 avenue de France, 75013 Paris (métro Bibliothèque François Mitterrand). Réservation indispensable: reservation@cacbretigny.com.

    Entrée libre. Château de Morsang-sur-Orge.

  • Du vendredi 4 avril au samedi 26 avril 2025

    Exposition d'Hugo Béhérégaray, Louis Chaumier et Juliette Georges

    Exposition

    Cette deuxième exposition collective de la saison «Bascules» réunit les artistes Hugo Béhérégaray, Louis Chaumier et Juliette Georges. 

    Entrée libre. Du mercredi au vendredi de 14h à 18h et les samedis et dimanches de 10h à 13h et de 14h à 18h. Château de Morsang-sur-Orge.

  • Samedi 7 juin 2025, à partir de 15h

    Exposition d'Ariadna Guiteras, Camille Juthier, Louise Perrussel, Chloé Serre et Marine Zonca

    Vernissage

    Vernissage de la dernière exposition de la saison «Bascules». 

    Navette gratuite Paris/Marolles: départ à 14h15 du 104 avenue de France, 75013 Paris (métro Bibliothèque François Mitterrand). Réservation indispensable: reservation@cacbretigny.com.

    Entrée libre. La Ferme de Marolles-en-Hurepoix.

  • Du samedi 7 juin au samedi 19 juillet 2025

    Exposition d'Ariadna Guiteras, Camille Juthier, Louise Perrussel, Chloé Serre et Marine Zonca

    Exposition

    Cette dernière exposition de la saison «Bascules» réunit les artistes Ariadna Guiteras, Camille Juthier, Louise Perrussel, Chloé Serre et Marine Zonca.

    Entrée libre. Du mardi au vendredi de 14h à 18h et les samedis de 10h à 13h et de 14h à 18h. La Ferme de Marolles-en-Hurepoix.